Mars 2007 - n°119

Le BIOPARC VICHY, en pleine expansion !

Vitrine industrielle et tertiaire du savoir-faire Santé-Beauté-Forme de l’Agglomération vichyssoise, le Bioparc Vichy affiche un beau dynamisme et a vocation à accueillir tous les métiers directs et indirects de ces secteurs.

18 entreprises, 4 700 m2 d’immobilier locatif, 13 hectares viabilisés, 45 hectares exploitables à terme et 1 600 m2 de locaux supplémentaires fin 2007… Plus de dix ans d’exploitation ont permis au Bioparc Vichy de mettre à disposition des entreprises et organisations désireuses de s’y implanter un réseau d’acteurs publics et privés disponibles et réactifs.

Labellisé « Qualiparc » !

Outre ses fameuses pastilles, la grande tradition thermale reconnue de Vichy a amené l’agglomération à concentrer ses activités autour de la santé, la cosmétique, la remise en forme et plus récemment l’économie du sport. Tout naturellement, le concept d’un parc thématique sur la Santé-Beauté-Forme mêlant disponibilités foncières et immobiliers d’entreprise est né en 1993. Après les travaux, la première entreprise s’est implantée en 1996 et le Bioparc a été labellisé « Qualiparc » en 2000, au vu de la qualité environnementale du site localisé à Hauterive et des services proposés, notamment dans les technologies de l’information et de la communication.

« Au Bioparc Vichy, il y a toujours quelqu’un à vos côtés ! », scande le slogan du site. Depuis sa création, le Bioparc est développé et géré par Vichy Val d’Allier Communauté d’agglomération qui en a fait son produit d’appel pour la filière Santé-Beauté-Forme, forte de plus de 2 000 emplois sur le bassin économique. Interlocuteur fédérateur, Vichy Val d’Allier Développement, l’agence de développement économique, apporte un accompagnement spécifique à chaque entreprise et favorise les synergies entre les différents acteurs.

Développer des activités structurantes

L’immobilier locatif a une part importante dans l’attractivité des lieux. Entre les bureaux, les laboratoires, les ateliers de production et les espaces de stockage, le site se module et s’adapte en fonction de la vie de l’entreprise.
Des locaux de 30 à 300 m2 sont disponibles et disposés à accueillir des créateurs ou des sociétés en développement, et 1 600 m_ supplémentaires seront proposés dans les prochains mois. Un potentiel marché existe dans des besoins en stérilisation et contrôle microbiologique. Des investisseurs et porteurs de projets sont recherchés pour satisfaire localement et régionalement ces besoins (avis aux professionnels !).

Par ailleurs, Vichy Val d’Allier Développement est appuyée par un véritable réseau de compétences, de structures d’accompagnement et de soutien, mais aussi par le monde universitaire et de la recherche de la région. Lors de la réalisation de projets, des aides financières substantielles provenant d’acteurs publics et privés du bassin, du département, de la région, de l’Etat et même de l’Europe, peuvent être accordées pour l’immobilier, le recrutement, les investissements, la recherche, les études et actions à l’international.
Les équipes du réseau économique analysent le cahier des charges de l’entreprise désireuse de s’implanter au sein du Bioparc et mènent à bien cette implantation dans les meilleurs délais. L’assistance technique d’implantation incluant le montage des dossiers d’aides financières est gratuite et génère souvent un gain de temps.

Depuis plus de 10 ans, la démarche du Bioparc Vichy vise un contexte élargi à la coopération métropolitaine avec les biosites de la région Auvergne (Naturopôle de Gannat, Biopôle de Clermont-Limagne à Saint-Beauzire, Biopôle de Haute-Auvergne à Aurillac). Le Bioparc est également impliqué dans des groupements régionaux à portée internationale comme Nutravita (alimentation santé), ouvrant des champs de coopération entre les entreprises et augmentant la notoriété de l’Auvergne.

D’ici fin 2007, la livraison de 4 lots de 400 m2, avec possibilité d’accès à la propriété à partir de 5 ans, devrait augmenter la capacité d’implantation du Bioparc Vichy.
Un pari sur l’avenir…

M. HASLÉ