Contexte :
Dans le cadre de la stratégie d’accélération « Maladies infectieuses émergentes et Menaces nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques » (SA MIE MN), soutenue par France 2030, le PEPR MIE soutient la recherche sur les maladies infectieuses émergentes.

Cet appel s’inscrit dans les trois volets fondateurs du PEPR MIE :
Volet 1 : Accélérer l’acquisition de connaissances fondamentales sur les maladies infectieuses émergentes
Volet 2 : Promouvoir l’innovation et développer de nouveaux traitements, vaccins et autres outils de prévention, diagnostics et outils de surveillance pour les maladies infectieuses émergentes
Volet 3 : Permettre aux politiques publiques et à la société de faire face aux crises épidémiques

Il viser à renforcer les capacités de prévention, de préparation et de réponse face aux crises sanitaires futures, en mettant l’accent sur les maladies infectieuses émergentes prioritaires identifiées dans l’appel 2024 : viroses respiratoires, fièvres hémorragiques virales et arboviroses. Les projets attendus devront adopter une approche interdisciplinaire et contribuer à faire progresser la recherche au service de la santé publique.

Cet appel à candidatures cible les volets de recherche du PEPR, à savoir :
Volet 1 – Accélérer l’acquisition de connaissances sur les MIE
Volet 2 – Organiser et développer de nouveaux traitements, vaccins et autres outils de prévention, diagnostics et outils de surveillance pour les MIE
Volet 3 – Permettre aux politiques et à la société de faire face aux crises épidémiques

L’appel à candidatures Chaires junior a pour but de stimuler l’innovation et le développement scientifique au travers de propositions de recherche, et propose aux jeunes scientifiques des chaires juniors pour développer des recherches novatrices dans le périmètre du PEPR MIE, qui seront financées d’un montant maximum de 1 M€ sur une durée de 48 mois.

L’appel à candidatures Chaires junior 2025 est doté d’une enveloppe indicative de 3 M€.

Quel est le périmètre de l’appel à candidatures ?

L’expertise des candidats et candidates ainsi que les propositions de recherche soumises devront s’inscrire dans au moins l’un des trois volets thématiques du PEPR MIE, pour lesquels des axes prioritaires ont été précisés. Une priorité sera portée aux projets s’inscrivant dans le cadre du volet 2 du PEPR MIE.

La proposition de recherche devra porter sur une ou plusieurs des maladies infectieuses listées comme prioritaires et présentant un risque élevé de crise sanitaire en France :
Arboviroses
Fièvres hémorragiques virales
Viroses respiratoires

L’appel à projets « Data challenges en santé » est un dispositif d’aide s’inscrivant dans le cadre de la stratégie d’accélération « Santé Numérique » et du Grand Défi « Améliorer les dispositifs médicaux à l’aide de l’intelligence artificielle ». Il a pour objectif de soutenir des acteurs de l’écosystème de la santé souhaitant organiser des compétitions en science des données autour de problématiques médicales.

Cet appel à projets s’adresse aux sociétés savantes, rattachées à un Conseil National Professionnel, aux établissements de santé publics et privés, aux groupements de coopération sanitaire ou aux structures labellisées “Institut Hospitalo-Universitaire" qui souhaitent organiser des data challenges en santé. Il s’agit de compétitions en science des données qui visent à répondre à des problématiques médicales précises en se basant sur l’analyse de jeux de données de santé anonymisées mis à disposition de l’ensemble des compétiteurs et en mobilisant des technologies d’intelligence artificielle.

Les projets soumis doivent porter exclusivement sur l’organisation de data challenges.

Les projets sélectionnés bénéficieront d’un soutien financier d’un montant maximum de 300 000 euros et d’un accompagnement opérationnel par le Health Data Hub.

Les lauréats de l’appel à projets s’engageront à réaliser les challenges dans un délai de 18 mois, à partager de manière ouverte tout ou partie des données sur lesquelles portent les challenges, et à ne remettre les récompenses qu’aux lauréats acceptant de publier leurs modèles en open source. Le dossier de candidature devra être soumis complet, dans les délais et sous forme électronique sur l’extranet de Bpifrance ;

Le projet devra être porté par une société savante rattachée à un Conseil National Professionnel, un établissement de santé public ou privé, un groupement de coopération sanitaire, ou une structure labellisée "Institut Hospitalo-Universitaire". Le projet pourra être mono-partenaire ou collaboratif, dans la limite de 3 partenaires ;

Le projet devra se dérouler en moins de 18 mois et présenter une assiette de dépenses maximale de 300 000 euros.

​​​​​C'est une formidable opportunité pour les entreprises pharmaceutiques, biotechnologiques, nutraceutiques et cosmétiques de s'affranchir de la gravité, de repousser les limites de la R&D et de développer des solutions commerciales de pointe pour leur marché terrestre et pourquoi pas, pour l'exploration de l'espace lointain. Ne manquez pas votre chance d'innover au-delà de la Terre ! 

Dans ce cadre, la mission du BSGN Life Science Industry Accelerator est de : 
- Impliquer de nouveaux acteurs issus des secteurs de la bioproduction, de la biotechnologie, de la pharmacie, de la nutraceutique et de la cosmétique
- Accélérer les projets pour les préparer à la mise en œuvre du  vol en orbite basse (LEO) avec les fournisseurs  commerciaux de l'espace
- Cofinancer directement des projets de mise en œuvre de vols ou identifier et accéder aux outils de cofinancement de l'ESA les plus pertinents
- Soutenir des projets qui répondent aux défis terrestres grâce aux avantages uniques de l'environnement spatial, combinés aux technologies et infrastructures spatiales
- Collaborer avec l' écosystème spatial commercial européen en LEO
- Favoriser le développement d'activités commerciales à fort potentiel
- Attirer de nouvelles sources de financement au-delà de l'ESA

Pour la première fois, la Filière de Santé AnDDI-Rares et la Fondation Maladies Rares lancent un appel à projets visant à surmonter l'impasse diagnostique dans les maladies rares présentant des anomalies du développement.

Deux types de projets sont éligibles pour cet appel : les projets de recherche en biologie (projets de laboratoire humide) et les projets de recherche en bioinformatique (projets de laboratoire sec).

Les projets doivent se concentrer sur au moins l'un des domaines suivants :
- Le développement de nouvelles méthodes de bioinformatique pour l'identification et l'interprétation des variants génomiques,
- L'exploitation de technologies innovantes (séquençage à longue lecture, RNA-seq, méthylome, etc.),
- L'analyse de cohortes pour détecter des signatures génomiques prédictives,
- Le développement d'outils fonctionnels in vivo et in vitro pour étudier les effets des variations génétiques,
- L'étude des interactions géniques et des mécanismes de régulation impliqués dans les pathologies avec anomalies du développement.

Les projets seront financés jusqu'à un maximum de 25 000 € pour une durée maximale de 24 mois.

Seules les maladies rares avec des anomalies du développement - avec ou sans troubles du développement intellectuel - sont éligibles pour cet appel.

L’appel à projets « i-Démo » du plan France 2030 a pour objectif le développement d’entreprises industrielles et de services sur les marchés porteurs, créateurs de valeur et de compétitivité pour notre économie et contribuant aux transitions énergétiques, écologique et numérique.

Ce dispositif soutient le développement de produits ou services très innovants et à haute valeur ajoutée, afin de renforcer la base scientifique et technologique française. Il soutient aussi des démonstrateurs à l’échelle industrielle ou préindustrielle d’innovations à un stade de développement avancé (prototype en environnement représentatif, lignes pilotes).
 

L’appel à projets colloques et publications couvre l’ensemble des champs thématiques de l’agence :
l’ensemble des recherches sur le VIH/sida, sur les infections sexuellement transmissibles (IST), sur les hépatites virales, sur la tuberculose, y compris les recherches sur leurs co-infections ;
les recherches sur les maladies infectieuses émergentes et réémergentes, notamment les arboviroses, les viroses respiratoires et les fièvres hémorragiques virales.

Lancement de son appel à projets 2025 pour identifier des molécules thérapeutiques afin de mettre au point de nouveaux traitements pour les patients atteints de maladies rares.

Cet appel d’offres soutiendra :
- Les projets basés sur une approche de criblage à haut contenu/à haut débit (HCS/HTS) utilisant des bibliothèques de composés, en vue de la découverte de molécules actives appelées « hits » ayant un potentiel thérapeutique ; 
- Les projets basés sur un criblage mécanistique in vitro axé sur un nombre réduit de voies de signalisation spécifiques afin d’affiner l’implication des molécules ciblées précédemment identifiées par un criblage plus large ; 
- Les projets basés sur le processus « hit to lead » en vue de l’optimisation des composés préidentifiés pour approcher les caractéristiques d’un médicament.

Budget maximum par projet  : 40 000 €

L’Institut national du cancer lance l’appel à projets OSIRIS25 pour soutenir des recherches innovantes en oncologie s’appuyant sur le modèle conceptuel de données OSIRIS. Ce modèle sémantique, développé en collaboration avec des experts, modélise et standardise des variables issues de cinq domaines : clinique, génomique, radiothérapie, imagerie médicale et radiomique. L’objectif est de favoriser la structuration, l’interopérabilité et la réutilisation des données de santé dans des projets de recherche. 

L’appel à projets  OSIRIS25 vise à :

• renforcer la standardisation des données en oncologie ;
• produire des connaissances à partir de données issues de sources diverses ;
• encourager la recherche en science des données et bio-informatique ;
• stimuler les collaborations et le partage de données via des écosystèmes mutualisés. 

L’appel à projets OSIRIS25 est ouvert à tous les domaines de la recherche en cancérologie (épidémiologie et santé publique ; recherche translationnelle et biomédicale pour l’aide au diagnostic, au pronostic et à la décision thérapeutique ; personnalisation des traitements ; pharmacoépidémiologie et évaluation des thérapies ; suivi à long terme, etc.), à l’exclusion des projets de faisabilité, de pilotage d’établissements ou de simple constitution de bases de données sans finalité de recherche. 

Les projets doivent être portés par un consortium incluant au minimum un ESPIC (CLCC compris) et un CHU ou CH. 

La Ligue nationale contre le Cancer (LNCC), la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer et l’Institut national du cancer (INCa) ont souhaité œuvrer ensemble afin de développer et soutenir un nouveau PAIR dédié au dépistage des cancers de la prostate. 

Cet appel à projets, centré sur le dépistage des cancers de la prostate, concerne des projets ayant pour ambition de répondre à des questions potentiellement issues de toutes les disciplines qui seront abordées par une approche transversale et intégrative afin d’améliorer les connaissances et la prise en charge de ces cancers.

Plusieurs axes de réflexions ont été identifiés (détaillés ci-dessous) et les questions posées pourront s’inscrire dans ces différentes problématiques, en respectant autant que possible une dimension pluridisciplinaire et transversale. 

Axe 1 : Amélioration des connaissances sur les facteurs de risque des cancers de la prostate
Axe 2 : Optimisation des outils existants & Recherche de nouveaux outils – Stratification des patients
Axe 3 : Sciences Humaines et Santé publique

L’ambition de ce PAIR est de pouvoir demain dépister de façon plus précise, en connaissant mieux les personnes à risque élevé, avec de nouveaux outils de dépistages, de nouvelles technologies moins invasives, plus facilement acceptables, et plus fiables que les tests actuels.

L’objectif du concours est d’accélérer la recherche pour lutter contre le cancer du sein triple négatif en soutenant des chercheurs et des initiatives innovantes.

Pour cette deuxième édition, quatre prix d’une dotation de 20.000 € chacun, viendront encourager les travaux prometteurs d’équipes pluridisciplinaires, scientifiques ou médicales, dans le domaine du cancer du sein triple négatif, au bénéfice direct des Triplettes prises en charge en France.

- Prix de l’égalité des chances
- Prix de l’innovation – Cancer localisé
- Prix de l’innovation – Cancer métastatique
- Prix coup de cœur

L’objectif général de cette chaire est de contribuer à l’avancement des connaissances concernant le développement et le déploiement des stratégies de prévention efficaces dans le champ de l’alcool afin de réduire l’incidence des cancers. 

Les enjeux actuels portent sur la mise en œuvre et l’évaluation de dispositifs et stratégies de prévention, notamment auprès des populations les plus à risque : comprendre comment ces interventions fonctionnent, comment est-ce que l’on peut toucher ces populations, quels sont les freins et les leviers. 

Il est attendu un programme de recherche ambitieux et innovant, incluant des thématiques de recherche prioritaires de l’Institut national du cancer (sans pour autant être toutes traitées et dans leur globalité par le titulaire de la chaire) :

La recherche interventionnelle en santé des populations (RISP)
La réduction des inégalités sociales de santé et populations spécifiques
Nouvelles technologies, e-santé et éthique
Les différences interindividuelles

Cette chaire de recherche est ouverte à tout chercheur confirmé dans le champ de recherche de cette chaire, titulaire d’un doctorat en sciences humaines et sociales, de nationalité française ou étranger titulaire ou contractuel rattaché à une université française, qui sera l’organisme bénéficiaire de la subvention. 

Dans le cadre de la composante « Construction de l’Espace Européen de la Recherche et Attractivité Internationale » du Plan d’action 2025, l’instrument « MRSEI » est reconduit avec un format de soumission en continu impliquant deux sessions de sélection.

Le programme MRSEI a été créé pour donner les moyens aux scientifiques travaillant dans des laboratoires français de déposer en tant que coordinatrice/coordinateur un projet de recherche à des appels collaboratifs européens (Horizon Europe) ou internationaux et de leur donner ainsi la possibilité de développer des projets interdisciplinaires ambitieux et de renforcer leur visibilité au niveau international.

Dans le cadre de cet appel, seules sont attendues des propositions ayant pour objet de constituer un réseau scientifique européen ou international, coordonné par une équipe française. Ces réseaux de recherche constitués dans le cadre du programme MRSEI sont tenus de candidater à un appel à projets ambitieux, européen ou international.

Le Fonds Amgen France pour la Science et l'Humain poursuit son engagement dans la recherche médicale française avec le lancement de son 6ème Appel à Projets "De la médecine de précision à l’optimisation du parcours de soins pour une expérience patient améliorée."

Il réaffirme alors son soutien en faveur de la recherche en encourageant des projets innovants dans trois domaines : l’onco-hématologie, les pathologies inflammatoires chroniques et la cardiologie – métabolisme : athérome et instabilité de la plaque. Cette nouvelle édition repose sur deux axes forts : la recherche fondamentale et la recherche appliquée avec un objectif ​clair : améliorer le parcours de soins et la qualité de vie des patients.

Le Fonds Amgen France pour la Science et l’Humain agit comme catalyseur de la recherche en France. Il soutient le financement d’initiatives d’intérêt général dans les sciences de la vie et sciences humaines et sociales en oncologie, en onco-hématologie, en pathologies inflammatoires chroniques, en cardiologie-métabolisme et en data / intelligence artificielle (IA) / technologie digitale pour découvrir les innovations de demain.

​​La dotation globale du sixième appel à projets est de 600 000 euros. Chaque projet lauréat bénéficiera d’un financement pouvant aller jusqu’à 75 000 euros.

Ces Prix internationaux, qui comptent parmi les plus importantes distinctions européennes dédiées à la cancérologie, récompensent les carrières et travaux de chercheurs ayant permis des avancées majeures pour la cancérologie.

Deux chercheurs seront récompensés à hauteur de 200 000€, dans les catégories suivantes :
- Recherche fondamentale
- Recherche translationnelle et clinique

L’objet de ce programme est d’inciter les acteurs de la recherche académique à créer des partenariats structurés à travers la co-construction de « Laboratoires Communs » entre une PME ou une ETI et un laboratoire d’organisme de recherche. Un Laboratoire Commun est défini par la signature d’un contrat définissant son fonctionnement, et notamment :

- une gouvernance commune,
- une feuille de route de recherche et d’innovation,
- des moyens de travail permettant d’opérer en commun la feuille de route,
- une stratégie visant à assurer la valorisation par l’entreprise du travail partenarial.

Thème de l'appel à projets 2026 : microbiote des femmes et reproduction.

Chaque année, un thème spécifique est choisi pour soutenir des projets innovants ayant un impact scientifique et médical significatif. L'appel international à projets de recherche 2026 de la Biocodex Microbiota Foundation est maintenant ouvert. Pour la Bourse Microbiote et Santé des Femmes 2026, le Comité Scientifique International a choisi le thème suivant : "Microbiote des femmes et reproduction : exploration fonctionnelle à l'interface hôte-microbiote".

Qui peut postuler ?

Cette bourse est ouverte aux médecins, docteurs en sciences ou docteurs en pharmacie travaillant dans des domaines pertinents tels que :
Gynécologie, Obstétrique, Microbiologie, Maladies Infectieuses, Médecine Interne, Oncologie, et plus encore.

Aucune restriction géographique – Les chercheurs de tous les pays sont encouragés à postuler.

Une bourse importante pour une recherche innovante.

Montant de la bourse : 200 000 €

Durée maximale du projet : 3 ans. Le financement peut être utilisé pour l'équipement, les coûts opérationnels ou le personnel, avec un plafond de 10% pour les frais généraux institutionnels.

Cancer et maladies mentales : retour et maintien dans l’emploi durant ou après une maladie chronique évolutive par le jeu.

La Fondation Neurodis, le CLARA, Noveka! et Saint-Etienne Métropole s’associent dans le cadre d’un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) commun et transpathologique : Cancers et Santé Mentale. L’objectif sera, pour les candidats, de faciliter le retour ou le maintien dans l’emploi de personnes fragilisées par un problème de santé (cancer, maladie mentale) en développant des outils innovants et ludiques, destinés à sensibiliser les collaborateurs et les managers aux enjeux physiques et psychologiques en milieu professionnel.

Cet AMI, qui s’inscrit dans les axes stratégiques du CLARA, de la Fondation Neurodis et de Noveka! vise à croiser les besoins et prérogatives de Saint-Étienne Métropole et les enjeux scientifiques liés à la lutte contre le cancer et les maladies mentales. Il entend mobiliser une ou plusieurs équipes de recherche, et éventuellement d’autres acteurs du territoire (associations, entreprises…) autour d’une thématique qui représente un enjeu fondamental de santé publique, ce sous un angle particulièrement original, celui du jeu et des industries culturelles et créatives.

Cet appel à manifestations d’intérêt vise à soutenir un projet à hauteur de 60 000 €.

Contexte et objectifs de l'appel à projets

Dans un contexte de forte compétition internationale, les territoires doivent se différencier pour se rendre visibles et attractifs. La Région Pays de la Loire est un espace d’innovation couvrant un ensemble de filières stratégiques et de domaines d’excellence pour lesquels elle dispose d’avantages compétitifs.

Cette dynamique s’appuie sur un écosystème structuré et solide composé notamment de dix pôles de compétitivité, en soutien à un vivier important de startups et d’entreprises innovantes du numérique à l’immunologie, aéronautique, naval, EMR, industrie agro-alimentaire, santé, électronique, mobilités décarbonées, robotique, technologies avancées de production, internet des objets, photonique et biotechnologies. Ces entreprises innovantes vont favoriser la transition de l’économie régionale et participer à la croissance de demain et des emplois futurs.

Mais les entreprises, souvent de petites tailles, ne disposent pas toujours de la masse critique suffisante, et doivent être confortées et accompagnées dans le développement de leurs projets innovants et leur croissance.

C’est en s’appuyant sur ce constat que l’Etat et la Région Pays de la Loire souhaitent apporter leur soutien aux partenaires de recherche, aux PME et ETI engagées dans une démarche de recherche, de développement et d’innovation en lien avec la recherche académique, afin de favoriser leur croissance et leur compétitivité.

Description :

Portée :
L'Accélérateur EIC aide les entreprises (principalement les PME, y compris les start-ups) à développer des innovations à fort impact susceptibles de créer de nouveaux marchés ou de perturber les marchés existants. L'Accélérateur EIC offre une combinaison unique de financements de 0,5 à 12,5 millions d'euros et de services d'accélération d'activité (voir section VI du Programme de travail 2025 de l'EIC ).

L'Accélérateur EIC se concentre particulièrement sur les innovations fondées sur des découvertes scientifiques ou des avancées technologiques (« deep tech ») et nécessitant un financement important sur une longue période avant de générer des retours sur investissement (« capital patient »). Ces innovations peinent souvent à attirer des financements en raison des risques et des délais trop élevés. Le financement et le soutien de l'Accélérateur EIC visent à permettre à ces innovateurs d'attirer l'intégralité des investissements nécessaires à leur expansion dans un délai plus court.

L'Accélérateur EIC soutient les dernières étapes du développement technologique ainsi que la montée en puissance. La composante technologique de votre innovation doit donc avoir été testée et validée en laboratoire et dans un environnement adapté (par exemple, au moins au niveau de maturité technologique 5). L'Accélérateur EIC vise à soutenir les entreprises dont le soutien servira de catalyseur pour attirer d'autres investisseurs nécessaires à la montée en puissance de l'innovation.

Les candidats à l'accélérateur EIC peuvent soumettre des propositions sur les sujets suivants :
- EIC Accelerator Open , qui n'a pas de priorités thématiques prédéfinies et est ouvert aux propositions dans n'importe quel domaine technologique ou d'application ;
- Défis de l'accélérateur EIC dans des domaines prédéfinis de technologies émergentes et stratégiques

Le programme SRSEI a été créé pour donner les moyens aux scientifiques travaillant dans des laboratoires français ayant déposé en tant que coordinatrice/coordinateur un projet de recherche à des appels collaboratifs européens (Horizon Europe) ou internationaux de renforcer la qualité de leur candidature (proposition complète ou audition) pour la seconde étape de l’appel visé. Cet appel concerne donc uniquement le programme SyG parmi les appels ERC.

L’objet de cet appel, est de renforcer un réseau scientifique européen ou international, coordonné par une équipe française ayant été invité à poursuivre sa candidature à la seconde étape d’un appel Européen ou international en plusieurs étapes.

Les propositions sélectionnées recevront une aide maximale de 17 k€ pour une durée de 12 mois. L’aide reçue financera exclusivement des actions permettant au réseau scientifique de se retrouver pour préparer la seconde étape de la candidature Européenne ou internationale (frais de mission, de réunion, de réception, etc…) et/ ou de la prestation de service pour aider la coordinatrice/ le coordinateur à finaliser le projet européen ou international.

L’AMI « Partenaires indirects du PIIEC Santé » a pour but de faciliter et d’accélérer l’accès à des financements publics pour les partenaires indirects du PIIEC Santé présents sur le territoire national.

Projets attendus :
Des projets dont les travaux sont menés en partenariat d’un projet européen pré-notifié par un Etat membre dans le cadre du PIIEC Santé, ou, à défaut, d’un projet officiellement sélectionné par la France à la suite d’un AMI dédié pour présenter un projet dans le cadre du PIIEC Santé. Cet AMI est donc réservé aux partenaires indirects validés par les chefs de file de Med4Cure.

Il doit s’agir de projets d’innovation pour des activités réalisées en France, liées à la R&D ou aux premiers déploiements industriels. 

Critères d’éligibilité :
Le dossier de candidature devra être soumis complet, dans les délais et sous forme électronique sur la plateforme dédiée ;
Le projet est porté par une entité juridique unique, privée ou publique, sans restriction de taille, disposant d’un numéro Siren à la date de dépôt du dossier ;
Le porteur doit être formellement reconnu comme partenaire indirect par un partenaire direct européen pré-notifié dans le cadre PIIEC Santé ou d’un projet officiellement sélectionné par la France à la suite d’un AMI dédié pour présenter un projet dans le cadre du PIIEC Santé ;  
Le projet doit porter sur des travaux réalisés en France et non-engagés avant le dépôt du dossier ;
Le projet doit présenter un caractère innovant, ainsi qu’un intérêt industriel, médical et/ou de santé publique

Le Gouvernement a mis en place une politique ambitieuse de soutien à l’innovation, en particulier à destination des acteurs émergents.

Dans le cadre du plan d’investissement France 2030, l’appel à projets « Première usine » vise à accélérer l’émergence de premières réussites d’industrialisation par des start-ups industrielles, ou PME /ETI innovantes.

L’appel à projets « Challenge prévention : démontrer la valeur des innovations en vie réelle » doit permettre de soutenir des projets d’envergure autour d’objectifs de santé publique mettant en œuvre des dispositifs innovants dans le champ de la prévention, intégrant des technologies et produits de santé, pouvant faire intervenir des combinaisons d’innovations (techniques, biotechnologiques, numériques, organisationnelles ou interventionnelles). Ces projets doivent être accompagnés d’un protocole permettant de démontrer la valeur apportée par ces dispositifs en vie réelle en vue d’un déploiement si cette démonstration de la valeur est avérée.

Les projets attendus doivent proposer un dispositif innovant en prévention intégrant un ou des produits ou technologies de santé innovant ou présumé innovant pouvant être combinés à d’autres innovations qu’elles soient notamment numériques ou organisationnelles, permettant en particulier de réduire la prévalence de pathologies ou prédire leur incidence dans la population, d’optimiser ou personnaliser les prises en charge thérapeutiques, prévenir des complications, améliorer l’adhésion, en favorisant entre autre la participation des patients avec les PROs (patient reported outcome), et l’observance aux traitements et dépistages…

Les projets devront porter notamment sur l’une des thématiques prioritaires suivantes : 
- Lutte contre l’infertilité, 
- Santé de l’enfant, 
- Santé mentale, 
- Prévention de la perte d’autonomie, 
- Maladie chroniques (cancers, diabètes, maladies cardio-neurovasculaires et cardiométaboliques, maladies neurodégénératives …), 
- Promotion des comportements favorables à la santé : éducation à la santé, alimentation, activité physique (incluant l’APA), addictions (tabac, alcool, drogues…), sommeil, écrans, éducation à la vie affective et santé sexuelle,
- Vaccination et prévention des maladies infectieuses,
- Maladies rares, notamment dépistage néonatal   et diagnostic des maladies rares avec une inclusion précoce dans un parcours de soins adapté,

Les projets attendus dans le cadre de cet appel à projets devront être déployés sur le marché français prioritairement et devront présenter une assiette de dépenses indicative de l’ordre de 3 000 000 d’euros à 10 000 000 d’euros.

Modalités de soutien :

Pour les entreprises, la modalité d’attribution de l’aide respecte la répartition forfaitaire suivante : 
60% maximum de l’aide attribuée sous la forme de subventions ;
40% de l’aide attribuée sous la forme d’avances remboursables ; le montant des avances remboursables ne pourra pas être inférieur à 100 k€ par partenaire.

Pour les établissements de recherche, l’aide sera apportée sous forme de subventions.